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Blog de la Seconde IGC

20 juillet 2010

Bonnes Vacances !

Bonjour à tous,
J'espère que vous profitez bien de ce mois de juillet. Comme convenu, je tâche de laisser ce blog ouvert. J'essayerais de rajouter des liens, de temps en temps. Vous pouvez poser des questions par l'intermédiaire des commentaires.
L'une de vous a proposé un petit texte à la publication, juste avant les vacances. (c'était un petit texte ludique qui s'amusait à comparer les membres de la classe avec des animaux. J'étais initialement d'accord pour le poster, mais finalement, j'ai préféré ne pas le faire, à cause de la présence de noms de familles, et de certaines comparaisons peu flatteuses pour certains / certaines... Que la personne m'excuse, je n'ai pas eu le temps ni l'occasion d'en parler vraiment avec elle.)
Encore bonnes vacances à vous !

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3 mai 2010

Kronope

En suivant CE LIEN, (kronope.com),
vous arriverez sur le site de la troupe du Kronope, qui a livré une interprétation très originale de Knock. Sur leur site, via l'onglet "Médiathèque", quelques vidéos sont disponibles...

27 avril 2010

Knock : une critique

Il s’agit d’une pièce de théâtre nommée Knock.
C’est une pièce comique, qui parle d’un médecin qui vient remplacer le docteur Parpalaid dans un petit village. Au fur et à mesure du temps qu’il passe avec les habitants, il se rend compte que monsieur Parpalaid est peu connu de la population malgré toutes ses années de travail. Plus l’histoire avance, et plus les spectateurs peuvent constater que certains diagnostics donnés à quelques "clients" ne sont pas forcément fiables...

23 avril 2010

J’aimerais que le paradis soit équipé d’un

J’aimerais que le paradis soit équipé d’un téléphone pour entendre ta voix à nouveau. J’ai pensé à toi aujourd’hui, rien de nouveau. J’ai pensé à toi hier et la journée avant aussi. Je pense à toi en silence, je mentionne souvent ton nom. Tout ce que je possède sont les mémoires et une photo dans un cadre…. Dieu t’a dans ses bras, je t’ai dans mon cœur.

23 avril 2010

Lui.

Quand je le regarde, je me dis que j’ai de la chance

Quand je le vois, j’espère qu’il pense à moi

Quand je suis près de lui, je sens son odeur me chatouiller le nez

Quand je suis loin de lui, je me sens mal

Quand il passe à côté de moi, je sais que mes joues s’enflamment

Quand il me sourit, je sens mon cœur s’emballer

La distance nous sépare mais je m’en fous.

Je t’aime plus que tout tu es ma raison de vivre.

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19 mars 2010

L'école des mères : une suite

Monsieur DAMIS : - Je ne suis pas Angélique !

ERASTE : - Qui êtes-vous alors ?

M.D : - Je suis monsieur DAMIS. Et vous qui êtes vous ?

E : - Moi, je suis ERASTE. à part c’est mon père ?

M.D : - ERASTE ? Mon fils ?

E : - Oui, que faites-vous ici ?

M.D : - Je cherche Angélique. Et vous ?

E : - M’avez-vous entendu parler ?

M.D : - Non, mais répondez à ma question s’il vous plaît ?

E : - Je passais par là...

M.D à part : - Je ne le crois pas. Angélique n’est point là, je m’en vais de ce pas.

E : - Je vous dis à tout à l’heure pour le souper, père !

M.D : - A tout de suite.

Avec la participation de Elodie Laurent

16 mars 2010

# Ce n’est pas parce qu’elles sont belles qu’ils les aiment, mais parce qu’ils les aiment qu’elles sont belles.

Avoir des papillons dans le ventre à l’idée de le voir, les yeux pleins d’étoiles lorsque mon regard croise le sien. Si seulement… Si seulement il pouvait apercevoir l’amour que je porte à son égard. L’amour n’est pas réciproque, sans sincérité. Parfois la vérité finit par éclater sans crier gare. Quand la digue éclate, il ne me reste plus qu'à nager. Je suis fatiguée. Mais malgré tout je garde le sourire. Enfin, du moins j’essaye. Tôt ou tard je dois ouvrir les yeux. Affronter le Monde sans baisser les bras. Pas de petits Faux Semblants. Non, juste un océan plein de mensonges. Comment faire pour ne pas me laisser engloutir? Il est véritablement le seul, l’unique à qui j’ai su accorder ma confiance, qui est cependant très rare. A lui seul, il a su briser celle que j’étais. Un monde hypocrite ? Tout le monde part nulle part, sans savoir où aller. Tout le monde court, toujours mais après quoi ? Personne ne sait. Tout le monde ment et rêve en noir et blanc ; les yeux fermés. Sous un ciel bleu, des milliards de gens sur Terre mais personne pour te dire ce qu'il faut faire et te demander pourquoi tu pleures, pourquoi tu ris. Les poings serrés au fond de tes poches, l'esprit ailleurs. Tu trouves que tout le monde a l'air moche. Arrête de crier au secours. Tout le monde fuit, s'enfuit et puis te parle de remords. Tout le monde croit n'importe quoi, n'importe qui à tort et à travers. Tout le monde triche, veut être riche, pour avoir plus encore. A quoi sert-il d'être plus fort ? Cris ton amour. Prends tous les sens interdits, va où tu veux et là où ça te semble beau. Vis tes envies, donne ton avis, la vie n'est qu'un jeu. Il te suffit d'être toi pour avoir ce que tu veux. Tu vois le monde n'est pas si moche Arrête de crier au secours, cris que tu es la plus heureuse. Même si tu l'es pas ... De toute façon, c'est comme ça !

Toi. Toi qui n’es pas comme tous les autres. Toi qui a su me relever, me redonner gout à la vie. Combien de fois j’ai pu tomber, mais ce n’est pas cela le plus important. Mais plutôt grâce à qui, et comment, j’ai pu me relever…
Pauline Lourdeau, Estelle Fleury, Caroline Delagnes

12 mars 2010

L'école des Mères : Une suite

L’école des mères : écrire la suite de la scène

Monsieur Damis : (D’une voix fluette) : Non, mon cher et tendre. . .

Eraste : Tournez-vous donc que je vous embrasse !

Monsieur Damis : (Toujours d’une vois fluette) : Je ne veux pas car je dois rentrer chez moi, mon père m’attend et si je suis en retard, il me rouera de coups.

Eraste : (Prenant monsieur Damis dans ses bras) : Ma pauvre Angélique, je vous plains d’avoir un père comme celui-ci (Réfléchissant d’un coup) vous êtes bien grande, habituellement vous ne m’arrivez qu’aux épaules.

Monsieur Damis : (Parlant normalement et oubliant de se faire passer pour Angélique) : J’ai mis des chaussures à hauts talons pour vous faire plaisir ce soir.

Eraste : (Inquiet, reculant et lâchant Monsieur Damis) : Cette voix me paraît bien familière, vous n’êtes point Angélique, qui êtes vous ?!

Monsieur Damis : (cherchant à se rattraper) : Heu … Oui bon j’avoue je ne suis pas Angélique, je suis, heu … ton meilleur ami Ducros.

Eraste : Mais pourquoi ne pas me l’avoir dit plus tôt voyons ?

Monsieur Damis : Pour te faire croire que j’étais Angélique et cela a marché a ce que je vois, bon ce n’est pas tout mais je dois y aller. (en partant vers la porte)

Eraste : Très bien, au revoir mon ami …

(Ducros, « le vrai » entre alors dans la pièce)

Ducros: Comment vas-tu mon ami ?

Eraste : (inquiet) : Mais je croyais que tu devais partir (il court vers la porte et s’en va précipitamment)

Ducros : Mais attends-moi donc …

Ecrit en duo avec Mallory Souchaud

12 mars 2010

Hernani

Proposition d'écriture

Nous allons réécrire un extrait de la scène 2 de l'acte 1, de la pièce Hernani ; au XXIème siècle, qui pourrait être Hernani ? Malgré la versification (que nous tâcherons de conserver dans nos réécritures), quel serait le vocabulaire de ce bandit romantique ?
Voici la scène originale, ci-dessous :

DOÑA SOL.

  • Je vous suivrai.

HERNANI.

  • Parmi mes rudes compagnons ?
    Proscrits dont le bourreau sait d’avance les noms,
    Gens dont jamais le fer ni le coeur ne s’émousse,
    Ayant tous quelque sang à venger qui les pousse ?
    Vous viendrez commander ma bande, comme on dit ?
    Car, vous ne savez pas, moi, je suis un bandit !
    Quand tout me poursuivait dans toutes les Espagnes :
    Seul, dans ses forêts, dans ses hautes montagnes,
    Dans ses rocs où l’on est que de l’aigle aperçu,
    La vieille Catalogne en mère m’a reçue.
    Parmi ses montagnards, libres, pauvres et graves,
    Je grandis, et demain, trois milles de ses braves,
    Si ma voix dans leurs monts fait résonner ce cor,
    Viendront... vous frissonnez, réfléchissez encore.
    Me suivre dans les bois, dans les monts, sur les grèves,
    Chez des hommes pareils aux démons de vos rêves ;
    Soupçonner tout, les yeux, les voix, les pas, le bruit,
    Dormir sur l’herbe, boire au torrent, et la nuit
    Entendre, en allaitant quelque enfant qui s’éveille,
    Les balles des mousquets siffler à votre oreille.
    Être errante avec moi, proscrite, et, s’il le faut,
    Me suivre où je suivrai mon père, - à l’échafaud.

DOÑA SOL.

  • Je vous suivrai.

A vos claviers !

14 février 2010

Réécriture de Hernani (Acte 1 scène 2) : Que serait Hernani à notre époque ?

Doña SOL :
Je vous suivrai !

Hernani :
Parmi mes durs compagnons ?
Bannis, avec la peur de finir en prison.
Des gens dont jamais le fer ni le cœur ne s’affaiblit.
Ayant tous des gens à venger ?
Vous viendrez commander mon clan ?
Car, comme vous je savez, moi je suis un voleur...

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