L'école des Mères : Une suite
L’école des mères : écrire la suite de la scène
Monsieur Damis : (D’une voix fluette) : Non, mon cher et tendre. . .
Eraste : Tournez-vous donc que je vous embrasse !
Monsieur Damis : (Toujours d’une vois fluette) : Je ne veux pas car je dois rentrer chez moi, mon père m’attend et si je suis en retard, il me rouera de coups.
Eraste : (Prenant monsieur Damis dans ses bras) : Ma pauvre Angélique, je vous plains d’avoir un père comme celui-ci (Réfléchissant d’un coup) vous êtes bien grande, habituellement vous ne m’arrivez qu’aux épaules.
Monsieur Damis : (Parlant normalement et oubliant de se faire passer pour Angélique) : J’ai mis des chaussures à hauts talons pour vous faire plaisir ce soir.
Eraste : (Inquiet, reculant et lâchant Monsieur Damis) : Cette voix me paraît bien familière, vous n’êtes point Angélique, qui êtes vous ?!
Monsieur Damis : (cherchant à se rattraper) : Heu … Oui bon j’avoue je ne suis pas Angélique, je suis, heu … ton meilleur ami Ducros.
Eraste : Mais pourquoi ne pas me l’avoir dit plus tôt voyons ?
Monsieur Damis : Pour te faire croire que j’étais Angélique et cela a marché a ce que je vois, bon ce n’est pas tout mais je dois y aller. (en partant vers la porte)
Eraste : Très bien, au revoir mon ami …
(Ducros, « le vrai » entre alors dans la pièce)
Ducros: Comment vas-tu mon ami ?
Eraste : (inquiet) : Mais je croyais que tu devais partir (il court vers la porte et s’en va précipitamment)
Ducros : Mais attends-moi donc …
Ecrit en duo avec Mallory Souchaud